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Pour vous aider à ne pas oublier l’indispensable ou même l’accessoire, je vous propose une liste que vous pourrez compléter en fonction de vos désirs particuliers.
Préférez les sacs souples pour vos bagages : plusieurs petits sacs plutôt qu’un gros, certes moins pratiques à transporter mais surtout moins encombrant à bord qu’une valise rigide et plus facilement rangeables.
A ne surtout pas oublier : les protections.
Contre le soleil :
En mer la luminosité est 2 fois plus importante qu’à terre du fait de la réflexion sur l’eau. Même si le soleil ne darde pas pleinement ses rayons, la lumière du jour est intense. Il est indispensable de prévoir
– des lunettes de soleil 100% UV d’indice 3 voire 4
– une crème solaire IP 30 minimum
– un couvre-tête : un bonnet a l’avantage de protéger aussi du froid si vous naviguez hors saison, un chapeau ou une casquette protège plus largement du soleil.
Contre la déshydratation :
En mer, l’air marin iodé et salé peu vous déshydrater plus rapidement qu’on pourrait le penser et sans qu’on s’en aperçoive. La soif, même inconsciente, peut aussi être un facteur de déclanchement de mal de mer.
Contre cela des petites bouteilles d’eau vous seront proposées, de manière à pouvoir vous abreuver en permanence sur le pont, sans avoir à descendre à l’intérieur à chaque nécessité de quelques gorgées.
Cependant, comme vous l’avez peut-être entendu, la pureté de l’eau en bouteille ne coule pas toujours … de source !
Je vous recommande donc de vous enquérir d’une gourde de 0.5l (maxi) ; filtrante si possible, de type Berkey ou Oko, par exemple.
Pour éviter les blessures :
Il est indispensable d’éviter de se déplacer pieds nus sur un bateau. Les éléments d’accastillage sont nombreux sur le pont. De même que les marches qui imposent des gestes peu habituels pour un novice, a fortiori du fait des mouvements du voilier en navigation.
Prévoyez des chaussures adaptées à la pratique de la voile : de préférence des chaussures bateau, sinon des baskets souples (à semelles claires pour éviter le marquage du pont).
Si vous disposez d’une paire de bottes, prenez-la aussi (si possible des bottes de voile). Eh oui les embruns peuvent vous rincer les pieds sur le pont.
Des gants ou mitaines de sport si vous comptez participer aux manœuvres, l’idéal étant des mitaines de voile.
A proscrire :
Les chaussures de ville, de sécurité, de montagne, inadaptées au bateau.
Les sandales et autres « Tongues » qui ne protègent en rien.
Contre le froid et l’humidité.
En mer vous serez toujours plus exposé au vent et la chaleur ressentie sera moindre. Pour une température identique, si vous seriez à l’aise en T-shirt à terre, vous supporterez aisément un habit en polaire en mer.
Prévoyez au moins 3 couches de vêtements : une sous-couche du genre T-shirt, préférentiellement un T-shirt de sport en tissu technique qui évacue l’humidité corporelle ; au moins un vêtement chaud tel que polaire (préférez les polaires aux pulls en laine qui sont inefficaces une fois humides) ; un coupe-vent, a minima déperlant, sinon imperméable tel que veste de quart ou ciré. Un ciré intégral avec pantalon ou salopette pourra être apprécié.
Des gants (ou mitaines) de sport.
A éviter :
Le K-way ou similaire, totalement inefficace.
Les gants en coton, laine (inopérants une fois mouillés) ou cuir (s’abime à l’eau de mer).
Contre le bruit
Au mouillage ou au port, on peut se trouver dans un environnement bruyant, le clapot contre la coque, qui est une bonne caisse de résonance, peut vous gêner pour dormir .
Prévoyez des bouchons d’oreilles.
Optionnellement :
A la belle saison (juin à septembre) si vous aimez vous étendre sur le pont inondé de soleil, ou si vous aimez nager en pleine mer, vous apprécierez d’avoir pensé à vos maillot et serviette de bain.
L’avitaillement est inclus et à bord (excepté les produits alcoolisés) mais si vous souhaitez emmener des mets ou boissons particuliers, ne vous en privez pas.
Un traitement contre le mal de mer si vous en avez un qui vous convienne particulièrement. Autrement le Mercalm est à bord et à discrétion du skipper.
Tout ce que vous souhaitez apporter… à condition qu’un container ne soit pas nécessaire au transport J.
Si vous oubliez, c’est mieux ! ça allègera votre bagage …
… à moins que cela ne fasse partie de vos indispensables en voyage :
Les draps et oreiller ; le service literie composé de drap, couette et oreiller houssés est inclus dans toutes nos offres.
De même que le linge de toilette (serviette + gant)
Dernier point
Penser à prendre votre ordonnance si vous suivez un traitement pharmaceutique en cours (en cas de renouvellement nécessaire ou de contrôle douanier).
Votre sac est maintenant complet et prêt à être bouclé. Il n’y a plus qu’à vérifier votre billet de train ou d’avion pour Lorient et venir profiter de votre croisière sur INTREPID !…
Vous vous demandez comment éviter le mal de mer ? Vous pensez avoir tout essayé et rien n’y a fait ?
Vous vous privez de sorties en mer parce que vous avez été sujet au mal des transports (cinétose ou naupathie) et vous craignez souffrir du mal de mer ?
Prenez le temps de lire cet article, qui se veut d’être assez exhaustif sur toutes les techniques, astuces et thérapeutiques pour éviter le mal de mer.
De quoi s’agit-il ?
Le corps dispose de 3 capteurs qui renseignent notre cerveau sur l’équilibre :
Les yeux qui transmettent les mouvements observés visuellement et nous situent dans l’espace ;
Le vestibule de l’oreille interne qui renseigne sur les vitesses et les accélérations des mouvements de notre tête ;
Et les capteurs de proprioception situés dans les voutes plantaires qui nous informent des mouvements relatifs des appuis au sol, en l’occurrence le bateau.
C’est le décalage ou plus précisément, la discordance entre ces 3 perceptions qui provoque le mal de mer.
En clair, l’oreille interne « ressent » plus les mouvements du bateau que les yeux et les pieds.
Le cerveau se trouve confronté à un conflit de sensations élémentaires et provoque les symptômes du mal de mer.
La bonne nouvelle, c’est que le cerveau finit par s’adapter et à calmer les symptômes : c’est l’amarinage ; au bout de 1 à 2 jours, généralement.
Seconde bonne nouvelle : 95% des gens sujets au mal de mer arrivent à s’amariner après 1 à 3 jours de navigation !
C’est donc un mal quasi … normal !
30% des gens, environ, sont sujets au mal de mer. C’est aussi un problème imprévisible : vous l’aurez peut-être une fois et pas une autre, certains l’auront par mer d’huile et temps chaud et d’autres uniquement par gros temps, ça pourra toucher des professionnels de la mer ou des grands marins et certains plaisanciers occasionnels ne l’auront peut-être jamais.
Tous différents.
Les symptômes du début de la naupathie varient aussi selon les individus. Ils peuvent se cumuler (ou non) jusqu’à la nausée et les vomissements.
Ce pourra être des maux de tête ou de ventre, des sensations de fatigue ou de froid, des tensions musculaires ou des vertiges, tout cela à des grades différents selon les personnes.
A savoir que, rassurez-vous, les cas extrêmes sont très rares !
En voilier, les sensations seront différentes selon l’allure parce que les mouvements du bateau seront différents. Aux allures portantes (vent arrière ou grand largue) ce sera du roulis : le bateau roulera d’un côté sur l’autre ; aux allures de près (en remontant au vent) le voiler sera soumis aux vagues de houle et aura un mouvement de tangage (d’avant en arrière). Certaines personnes seront plus sensibles à un mouvement qu’à un autre.
D’autres personnes, comme les enfants de 3 à 15 ans ainsi que les personnes âgées seront plus sensibles.
Selon une étude récente, il a été constaté :
que les personnes naturellement plus stables, que celles qui écartaient un peu les pieds, étaient moins sujettes au mal de mer ;
qu’une personne malade en compagnie d’une autre qui ne l’est pas est aidée par celle-ci à l’être moins.
Les enfants de moins de 3 ans seront rarement atteints, du fait que leur système d’équilibre n’est pas totalement construit.
Mais, assurément, si vous êtes reposé, en bonne forme physique et vous avez bien mangé de bonne humeur, vous serez moins sujet au mal de mer.
Ce mal de mer est donc pernicieux et imprévisible.
Prévenir le mal de mer pour s’en préserver.
On dispose actuellement de diverses connaissances et techniques pour, au moins, diminuer les risques de mal de mer.
En premier lieu, tout marin connait la vieille loi des 5 F à éviter : Froid, Faim, Fatigue, Frousse et Foif (=soif avec un F pour le nom de la règle).
Le Froid : habillez-vous chaudement. L’air marin rafraichit plus que le vent « terrestre ». Voyez sur notre site comment se prémunir contre le froid.
La Faim : Se préserver de la sensation de faim. L’estomac vide peut causer le déclenchement du mal de mer. Prenez un bon petit déjeuner avant d’embarquer avec 2 fruits. Préférentiellement des fruits un peu acides comme la pomme, ou l’orange ; la banane aussi puisqu’elle évite les aigreurs, est énergétique et a aussi l’avantage d’avoir le même goût à l’entrée qu’à la sortie !
Il ne faudra pas non plus trop manger ! Cela pourrait favoriser les vomissements en cas de mal de mer.
N’hésitez pas à prendre ensuite dans la journée, des barres de céréale et des fruits secs. Non ! ça ne fait pas grossir ! En mer vous dépenserez vos calories absorbées, même si vous êtes tout à fait inactifs !
Evitez tout ce qui est gras, épicé ou difficile à digérer (œuf, fromage, viande rouge…)
La Fatigue : moins vous serez fatigué, moins vous serez sujet au mal de mer. Autant que possible, arrivez frais et reposés en embarquant.
La Frousse : Il ne s’agit pas réellement de peur-panique, rassurez-vous. Mais du stress, des angoisses, des inquiétudes, peuvent générer le mal de mer. Vous devez vous rassurer en parlant au skipper, en lui posant les questions qui vous inquiètent. Il vous aidera à positiver votre situation. Ne vous bloquez pas dans un cheminement de pensées négatives sur des risques qui n’existent probablement pas : un skipper professionnel est avec vous pour vous faire apprécier une navigation en sécurité. Je le concède, ce n’est pas forcément le cas avec un skipper « improvisé » ou de co-navigation…
La « Foif » : Le vent marin, même s’il est parfois humide, déshydrate. Si vous ne ressentez pas la soif, vous devez vous forcer à boire. Par petite quantités et souvent. Buvez de l’eau ou du thé vert mais surtout pas d’alcool ni même du café ou chocolat chauds, ni de lait.
Il y en a un sixième dans la règle des 5 F : Faut avoir libéré ses intestins.
Ces 6 altérations peuvent être des facteurs déclenchant du mal de mer.
Ce qu’il faut aussi éviter :
Il faudra éviter de se subir des odeurs inhabituelles. L’intérieur d’un bateau n’est pas toujours bien aéré et, même s’il est parfaitement entretenu, il peut y subsister des odeurs particulières parfois légèrement teintées de relents de cuisine, de gasoil, d’huile chaudes, de produits ménagers, auxquelles on doit s’adapter quand on n’est pas habitué à cet environnement. Et cela même si l’on en a pas forcément conscience !
On évitera de rester à l’intérieur, pour, en premier lieu, la raison évoquée ci-dessus.
Du fait aussi qu’on aura une portée de regard réduite et qu’on augmentera le décalage de perception entre les yeux et l’oreille interne.
Les fumeurs devront autant que possible s’abstenir de fumer.
Evitez de lire ou toute activité qui vous maintien le regard à faible distance ou l’observation aux jumelles.
Si des personnes à côté de vous sont malades, ne les regardez pas. Cela pourrait déclencher le même symptôme chez vous.
Ce qu’il faut faire :
Pour éviter le mal de mer, votre positionnement sur le bateau sera nécessairement à l’endroit où vous ressentirez le moins ses mouvements mais aussi où vous serez le mieux en sécurité. La place qui réunit ces 2 conditions est le cockpit qui se trouve à l’arrière (sur la plupart des voiliers).
Vous serez à l’extérieur et pourrez respirer à fond le bon air marin, ce qui contribuera à éviter le mal de mer.
Vous pourrez aussi regarder au loin, un point fixe sur l’horizon, ou admirer la côte, si elle est visible.
Essayez de rester actif, participez aux manœuvres, aux réglages de voiles, discutez avec l’équipage ou encore, ce qui est le plus bénéfique, prenez la barre. Si vous n’avez jamais barré un voilier, le skipper vous donnera toutes les indications pour apprendre. Ne vous en inquiétez pas, aucun risque n’est à craindre !
Des techniques à pratiquer avant votre croisière.
Ces techniques présentent une bonne efficacité : la sophrologie, le biofeedback, la relaxation, la méditation, ou la visualisation. Elles permettent au cerveau de remédier au problème avant qu’il ne survienne réellement.
Des remèdes préventifs à court terme (juste avant le départ en mer ou la survenue du malaise) :
Remèdes naturels :
L’acupressing consiste à presser un point d’acuponcture, le Nei-Kuan, situé à 3 doigts au-dessus du pli du poignet. Pour presser ce point au deux bras en même temps et durablement, il existe des bracelets peu couteux environ 15€), élastiques et doté d’un bouton qui exerce la pression sur le point Nei-Kuan.
Cet accessoire semble ne pas être suffisamment efficace pour tout le monde.
Les lunettes Boarding Ring (sorties en 2011) paraissent bien fonctionner sur une grande majorité des utilisateurs.
Il s’agit de lunette dont le verre est entouré à moitié d’un liquide bleu qui suit les mouvements du bateau. La perception visuelle est ainsi trompée et le cerveau réduit la discordance qu’il y avait avec les autres capteurs d’équilibre.
Un cocktail d’huiles essentielles de menthe poivrée, de lavande, de gingembre, de citron, de mandarine… qui ont des vertus anti-nauséeuses et anti vomitives, pourra être essayé par les adeptes de la phytothérapie. Choisissez des huiles à appliquer sur la peau plutôt qu’à inhaler par diffuseur. C’est plus pratique en voilier et on est moins soumis aux odeurs.
Boire un jus de citron sucré, peut parfois suffire.
Médicaments.
Non disponibles pour les enfants de moins de 10 ans et les femmes enceintes.
Le Nausicalm ou le Mercalm sont des anti-nauséeux (antiémétiques) généralement efficaces. Le Mercalm sera moins soporifique car il contient de la caféine. Il est, de plus, sécable. A prendre ½ heure avant le départ et pas plus que toutes les 6 heures.
Il pourra vous en être donné sur demande au skipper d’INTREPID qui en dispose à bord !
Le patch de scopolamine doit être prescrit par un médecin, car il comporte des risques d’effets secondaires important.
De même que le Vogalène.
La cocculine semble très peu efficace contre le mal de mer, sauf peut-être avec les personnes sur lesquelles l’effet placébo de l’homéopathie suffit à remédier au problème.
Ça peut être aussi une alternative pour les enfants de moins de 10 ans et les femmes enceintes.
Par ailleurs, sucer une pastille de menthe suffit à certains.
Et si malgré tout…
Et si malgré tout cela vous avez le mal de mer, ne persistez pas à rester dehors à vous tenter de vous sentir mieux ou à vomir !
Sachez que dès le début d’apparition d’un des symptômes (évoqué plus haut), il y a de fortes chances que le mal s’aggrave, à moins que vous ne preniez la barre, comme conseillé plus haut. C’est la seule activité « curative » une fois les prémices du malaise apparus.
Sinon, plutôt que de lutter jusqu’à vomir, de reprendre un Mercalm qui sera à ce moment inefficace, vous devez aller vous allonger à l’intérieur du bateau, au chaud.
Mettez-vous au plus près possible du centre de carène, c’est-à-dire le point pivot des mouvements du bateau, là où vous le sentirez le moins bouger. Sur INTREPID, comme sur bon nombre de voilier, il s’agit d’une des banquettes du carré. Vous vous allonger et fermez les yeux. Vos 3 capteurs d’équilibre seront ainsi silencieux pour votre cerveau qui fera rapidement stopper votre malaise !
Il est même probable que vous vous endormiez ! Ainsi vous serez en pleine forme en arrivant au port d’escale, pour l’apéro! … et la navigation du lendemain…
En conclusion :
Mangez, buvez (de l’eau !), habillez-vous chaudement, respirez, occupez-vous l’esprit, regardez loin, activez-vous et préparez-vous psychologiquement et très positivement avant !
Quand mon épouse m’a proposé de partir faire une croisière en famille, j’ai cru qu’elle plaisantait. Elle a ri, car elle me connaît. »Non ! pas une croisière en paquebot, mais en voilier ! » J’ai hésité, car je pense être sujet au mal de mer… Mon épouse m’a finalement convaincu, et nous voilà partis avec nos trois enfants de 4, 7 et 15 ans.
Je ne regrette qu’une chose : que ce soit terminé.
On a navigué sur un magnifique voilier, Intrepid, barré par un skipper très pro. Les enfants étaient ravis de voir des dauphins et des poissons « en vrai » ! Le bon air iodé du large, le soleil : tout ce qui est bon pour le corps et l’esprit ! Envolés le stress et les soucis de la vie courante.
Nous n’avons en rien »lutté contre les éléments », mais tutoyé la nature. Que les ciels changeants envahissant tout l’horizon, si bas et rectiligne, sont magnifiques ! Ca fait tant de bien à l’esprit ! C’est si apaisant ces mouvements du bateau sur les vagues, le vent iodé sur nos visages et … un peu d’humidité marine, mais qu’importe : le climat est bon. Nous en apprécions ces moments humides, un rien vivifiants et qui conservent toute la beauté des paysages marins.
Le plaisir de filer vent arrière, de surfer sur les vagues… La légèreté de ce grand bateau costaud m’a épaté. Ma femme et moi nous sommes même essayé aux manœuvres durant cette croisière en famille et appris quelques rudiments de la navigation. Que c’est beau, une cathédrale de voiles sous le vent !
Mais ce bateau, bien qu’impressionnant par sa puissance, est aussi formidablement confortable avec ses cabines doubles, ses salles d’eau agréables et son grand carré avec cuisine américaine.
Les cotes vues de la mer sont superbes quel que soit le temps et la lumière et offrent une dimension quasiment magique.
Et on n’a pas fait que tirer des bords : on a aussi mouillé l’ancre dans des petites criques, loin des plages, pour le plus grand bonheur des enfants… Et le nôtre !
Quant à mon mal de mer, hé bien… en suivant les conseils de Jean, le skipper, je l’ai si peu ressenti tant il a si vite laissé la place au plaisir.
Cette croisière en famille a donc été une superbe expérience de bien-être, à recommander à tous ceux qui veulent se défatiguer de la vie trépidante. C’est décidé, on y retourne l’année prochaine ! Nous sommes devenus Intrepid adict !
Un seul conseil : choisissez bien votre équipage. Nous, avec Jean, on est vraiment bien tombés. Il ne plaisante pas avec la sécurité, ce qui permet de profiter pleinement de cette croisière exaltante et apaisante, en toute sérénité !