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Pour vous aider à ne pas oublier l’indispensable ou même l’accessoire, je vous propose une liste que vous pourrez compléter en fonction de vos désirs particuliers.
Préférez les sacs souples pour vos bagages : plusieurs petits sacs plutôt qu’un gros, certes moins pratiques à transporter mais surtout moins encombrant à bord qu’une valise rigide et plus facilement rangeables.
A ne surtout pas oublier : les protections.
Contre le soleil :
En mer la luminosité est 2 fois plus importante qu’à terre du fait de la réflexion sur l’eau. Même si le soleil ne darde pas pleinement ses rayons, la lumière du jour est intense. Il est indispensable de prévoir
– des lunettes de soleil 100% UV d’indice 3 voire 4
– une crème solaire IP 30 minimum
– un couvre-tête : un bonnet a l’avantage de protéger aussi du froid si vous naviguez hors saison, un chapeau ou une casquette protège plus largement du soleil.
Contre la déshydratation :
En mer, l’air marin iodé et salé peu vous déshydrater plus rapidement qu’on pourrait le penser et sans qu’on s’en aperçoive. La soif, même inconsciente, peut aussi être un facteur de déclanchement de mal de mer.
Contre cela des petites bouteilles d’eau vous seront proposées, de manière à pouvoir vous abreuver en permanence sur le pont, sans avoir à descendre à l’intérieur à chaque nécessité de quelques gorgées.
Cependant, comme vous l’avez peut-être entendu, la pureté de l’eau en bouteille ne coule pas toujours … de source !
Je vous recommande donc de vous enquérir d’une gourde de 0.5l (maxi) ; filtrante si possible, de type Berkey ou Oko, par exemple.
Pour éviter les blessures :
Il est indispensable d’éviter de se déplacer pieds nus sur un bateau. Les éléments d’accastillage sont nombreux sur le pont. De même que les marches qui imposent des gestes peu habituels pour un novice, a fortiori du fait des mouvements du voilier en navigation.
Prévoyez des chaussures adaptées à la pratique de la voile : de préférence des chaussures bateau, sinon des baskets souples (à semelles claires pour éviter le marquage du pont).
Si vous disposez d’une paire de bottes, prenez-la aussi (si possible des bottes de voile). Eh oui les embruns peuvent vous rincer les pieds sur le pont.
Des gants ou mitaines de sport si vous comptez participer aux manœuvres, l’idéal étant des mitaines de voile.
A proscrire :
Les chaussures de ville, de sécurité, de montagne, inadaptées au bateau.
Les sandales et autres « Tongues » qui ne protègent en rien.
Contre le froid et l’humidité.
En mer vous serez toujours plus exposé au vent et la chaleur ressentie sera moindre. Pour une température identique, si vous seriez à l’aise en T-shirt à terre, vous supporterez aisément un habit en polaire en mer.
Prévoyez au moins 3 couches de vêtements : une sous-couche du genre T-shirt, préférentiellement un T-shirt de sport en tissu technique qui évacue l’humidité corporelle ; au moins un vêtement chaud tel que polaire (préférez les polaires aux pulls en laine qui sont inefficaces une fois humides) ; un coupe-vent, a minima déperlant, sinon imperméable tel que veste de quart ou ciré. Un ciré intégral avec pantalon ou salopette pourra être apprécié.
Des gants (ou mitaines) de sport.
A éviter :
Le K-way ou similaire, totalement inefficace.
Les gants en coton, laine (inopérants une fois mouillés) ou cuir (s’abime à l’eau de mer).
Contre le bruit
Au mouillage ou au port, on peut se trouver dans un environnement bruyant, le clapot contre la coque, qui est une bonne caisse de résonance, peut vous gêner pour dormir .
Prévoyez des bouchons d’oreilles.
Optionnellement :
A la belle saison (juin à septembre) si vous aimez vous étendre sur le pont inondé de soleil, ou si vous aimez nager en pleine mer, vous apprécierez d’avoir pensé à vos maillot et serviette de bain.
L’avitaillement est inclus et à bord (excepté les produits alcoolisés) mais si vous souhaitez emmener des mets ou boissons particuliers, ne vous en privez pas.
Un traitement contre le mal de mer si vous en avez un qui vous convienne particulièrement. Autrement le Mercalm est à bord et à discrétion du skipper.
Tout ce que vous souhaitez apporter… à condition qu’un container ne soit pas nécessaire au transport J.
Si vous oubliez, c’est mieux ! ça allègera votre bagage …
… à moins que cela ne fasse partie de vos indispensables en voyage :
Les draps et oreiller ; le service literie composé de drap, couette et oreiller houssés est inclus dans toutes nos offres.
De même que le linge de toilette (serviette + gant)
Dernier point
Penser à prendre votre ordonnance si vous suivez un traitement pharmaceutique en cours (en cas de renouvellement nécessaire ou de contrôle douanier).
Votre sac est maintenant complet et prêt à être bouclé. Il n’y a plus qu’à vérifier votre billet de train ou d’avion pour Lorient et venir profiter de votre croisière sur INTREPID !…
COMMENT VENIR AU PORT DE KERNEVEL à LARMOR-PLAGE pour embarquer à bord de INTREPID
Par le train : Paris Montparnasse – Lorient (3 heures)
Gare de Lorient + Taxi ou Bus T4 >> Kernevel
En avion : de Lyon (uniquement) >> Aéroport de Lorient Lann Bihoué
En voiture :
De Paris Autoroute A 11 >> Rennes >
De Rennes >> Lorient : RN 24 puis RN 165
Sortir de la Nationale 165 direction Lorient par la rocade
Suivre « Lorient Les Ports »
Au bout de la rocade, au grand rond-point, 1 ère sortie à droite ;
Continuer la rue François Toulec jusqu’au grand rond-point ;
Prendre la 3ème sortie (à gauche) sur la rocade ;
Prendre la 2ème sortie, direction « Toutes directions », au rond-point, prendre la 3ème sortie sur le boulevard Roger Le Port qui longe la rade ;
Continuer sur 1700m ; après le chantier naval Kernevel Nautic-USHIP, au rond-point, prendre la 3ème sortie, rue des Châteaux ; puis tout de suite à gauche en direction du port de plaisance ;
Garer-vous sur le parking, le plus près de la capitainerie possible ;
Face à celle-ci, vous trouverez la passerelle qui descend sur le ponton. (Je vous aurais communiqué le code) ;
Votre voilier INTREPID se trouvera au ponton brise-clapot, place N°11.
Si vous êtes perdus, n’hésitez pas à m’appeler au 06 89 33 74 36
Qui est mis sur écoute a tout intérêt à bien s’entendre avec le barreur.
A l’entrée du port, la bouée le prouve. Rien ne vaut l’immobilisme pour remonter du creux de la vague.
Moins t’as d’assiette, plus tu prends la tasse. (Archimède)
La mer efface la trace des bateaux pour leur permettre de disparaître à l’horizon.
Le marin a rarement de vague à l’âme. Celles qui l’entourent lui suffisent.
Egale pour les gros yachts et les petits voiliers, la marée réduit à coup sûr la fracture sociale.
La mer est comme la femme, une fois formée, elle fait chavirer les hommes.
Lavé ou non à grande eau, le pont permet toujours de traverser les pieds au sec.
En embarquant deux termites sur un bateau en bois, Noé fit preuve de courage.
Je me demande quelle serait la profondeur de l’océan sans les éponges. (S. Wright)
Tout flotteur vire aux dépens de celui qui tient l’écoute. (un skipper de cata)
Qui veut aller au fond des choses fera bien de relever la quille.
On peut très bien renvoyer un génois sans froisser l’orgueil italien.
C’est bien beau de mener quelqu’un en bateau, c’est encore mieux s’il sait border les voiles.
Qui aura le vent dans le dos le lundi de Pâques risque aussi d’y avoir un poisson.
Qui ne change pas de cap a toutes les chances d’atteindre sa destination, surtout par vent arrière.
Le pessimiste se plaint du vent, l’optimiste attend qu’il tourne et le réaliste borde les voiles.(William Arthur Ward)
Les vrais paradis sont les paradis qu’on a perdus. (Marcel Proust, avant le GPS !)
Le monde est un spectacle à regarder et non un problème à résoudre. (Jules de Gaultier)
Dieu a créé la mer et il l’a peinte en bleu pour qu’on soit bien dessus.
La mer est un immense désert où l’homme n’est jamais seul, car il sent frémir la vie à ses côtés. (Jules Verne)
La meilleure manière de quitter le port de vue est de fermer les yeux. (un plaisancier qui écoute trop la météo !)
Toute l’eau de la mer ne peut pas couler un bateau tant qu’elle ne rentre pas à l’intérieur.
Même salée, l’eau est mouillée. Ce n’est pas par hasard. (Almanach du marin breton)
Le vent, la vague, l’étoile … vous répondront : Il est l’heure de s’enivrer! (Charles Baudelaire)
Par temps de cochon, je reste au port. (F. Michon)
A force de se pencher sur la mer, les étoiles sont tombées dedans. (un poète inconnu)
Par vent debout, le bateau s’arrête, quand le vent se lève, le bateau repart.
Printemps ici, automne en Australie, serait-il impossible que tous les marins du monde soient heureux en même temps ?
Le Vendée Globe va si vite que les coureurs n’ont plus le temps de poster leurs cartes de voeux.
Celui qui ne voit rien d’étrange n’a jamais regardé un homard en face. (Villiers de l’Isle Adam)
Il faut avoir vraiment faim pour avoir un creux de sept mètres. (S. N. Haques)
Il ne faut pas confondre le mal de mer et le complexe d’Oedipe. (Sigmund F.)
A l’approche du réveillon, pensons à toutes ces bouteilles de champagne fracassées contre des bateaux.
Rien n’interdit d’appareiller pour l’Ile de Pâques le jour de Noël
Ce n’est pas en jetant du Prozac à la mer, qu’on sort d’une dépression. (Un navigateur solitaire)
Si vous voulez aller sur la mer sans risque, n’allez pas en bateau mais allez sur une ile !
Le poisson est le chameau de la mer, la preuve, il n’a jamais soif
En mer, rien n’empêche que le mardi soit jour du poisson
Qui remonte sans cesse du poisson dans son spi doit ouvrir une conserverie.
Ne point attendre la soif pour tirer l’eau du puit !
La mer réjouit notre âme, parce qu’elle est, comme elle, aspiration infinie et impuissante, élan sans cesse brisé de chutes, plainte éternelle et douce ! (Marcel Proust)
Les perles !
C’est parce que la terre est ronde que le premier janvier tombe le même jour sur toutes les mers du monde !
Aucune partie du trou qui ne peut excéder 160 mm dans aucune direction, est à plus de 210 mm du sommet. (règles de l’Europe !)
Ce n’est pas dire, qu’il faut faire, c’est faire qu’il faut faire. (réel proverbe maritime !)
Eau tarie, pas besoin de foc. (dicton absurde ! )
En mer, comment tu fais demi-tour ? (un citadin qui n’a jamais été sur l’eau)
On arrive au port, il faut mettre les airbags ! (un plaisancier occasionnel)
En voilier, il faut se méfier des courants de fond ! (le même plaisancier occasionnel)
Quelques soient les compétences de chacun en matière de navigation en voilier et leurs attentes, plusieurs modes de locations s’offrent à vous.
Louer un bateau de particulier.
L’intérêt de cette location ne réside que dans le coût. Mais les risques en valent-ils la chandelle ?
Vous n’êtes en rien préservés contre tous genres de surprises. Il vaut mieux bien connaître les bateaux pour effectuer une bonne visite de contrôle avant départ. Il serait aussi préférable de connaitre le propriétaire.
Vous pouvez passer par un professionnel qui loue des bateaux de particuliers. Cela limite un tant soit peu les risques et les mauvaises surprises.
Pour l’une ou l’autre de ces locations, il sera vivement recommandé de souscrire une bonne assurance pour les passagers.
Les loueurs de bateaux
Si vous vous en sentez capable, vous pouvez contracter une location auprès d’un loueur de voiliers.
Ce ne sera pas forcément sans difficulté, avant, pendant et après votre séjour.
Tout d’abord, si vous ne présentez pas de références suffisantes aux yeux du loueur, celui-ci vous fera engager un skipper. A votre charge (200€/jour). Mais vous conserverez l’entière responsabilité du bord, comme si vous-même dirigiez totalement le voilier, parce que c’est vous son employeur !
Si vous n’avez pas besoin de skipper, c’est mieux ! Mais vous ne serez pas forcément à l’abris des surprises désagréables, du genre casse ou avarie. Si celles-ci surviennent du fait d’un défaut d’entretien, vous aurez du mal à prouver cette cause exclusive et à ne pas payer, ne serait-ce qu’une franchise.
Personne n’est à l’abri d’une erreur. Dans le milieu maritime, souvent inhabituel pour vous, elle peut arriver à des termes très fâcheux…
Autres petits désagréments : vous devrez verser une caution (qui sera bloquée si un des problèmes évoqués plus haut survient). Vous devrez aussi vous soumettre à l’inventaire avant départ et à l’arrivée, ainsi qu’a des explications sur le fonctionnement des divers équipements ou la lecture de leurs notices.
Vous devrez vérifier l’état de fonctionnement des moteurs (inbord et annexe), des équipements électroniques et ménagers…
Louer un voilier avec skipper est assurément la solution la plus intéressante en terme de rapport qualité/prix ou sérénité.garanties/prix.
Pourquoi ?
Louer un voilier avec skipper vous apporte les services d’un skipper qui vous accompagnera et sera à votre écoute pour optimiser le déroulement de votre croisière.
Sécurité :
Il vous fera profiter de votre croisière en toute sécurité, sans que vous ne supportiez aucune responsabilité. Votre skipper dispose d’une grande expérience de la mer et de la navigation. Il a suivi une solide formation sanctionnée par un Brevet Marine Marchande et possède parfaitement la règlementation maritime.
Votre armateur-skipper connait par cœur son bateau, maintenu en parfait état de navigation, ses réactions, ses possibilités et ses limites et saura aussi appréhender les vôtres et vos capacités au premier abord. Il pourra ainsi adapter au mieux votre programme de navigations en fonction des conditions météo et du temps imparti et vous apporter toute…
Tranquillité :
Après quelques recommandations d’usage, vous larguerez les amarres en toute sérénité, dégagés de toute responsabilité, quelque soit le problème qui pourrait survenir.
Les passagers à bord bénéficieront aussi d’une bonne assurance tous risques, au cas où, malgré tout, un désagrément majeur surviendrait (vol, casse, blessure…).
La plupart des skippers-armateurs propose maintenant « l’avitaillement à bord » inclus dans la prestation, éventuellement selon votre propre liste. Vous ne perdrez pas une matinée à faire vos courses avant de partir.
Vous apprécierez une tranquillité maximum parce que vous aurez aussi un maximum de :
Liberté
Louer un voilier avec skipper vous donne toutes possibilités de vivre votre croisière comme vous le désirez à chaque moment.
Après les indications du skipper, vous pourrez choisir votre destination, les escales et même votre manière de naviguer (sportive ou posée, avec recherche de vitesse et de sensations ou très tranquillement).
Vous choisirez aussi de participer activement aux manœuvres (quand vous le souhaiterez) ou de vous laisser voguer en savourant le farniente, d’apprendre ou de vous perfectionner en matière de navigation en habitable en maximisant les manœuvres ou juste « refaire de la voile » en croiseur, juste de la manière dont vous le désirez.
Les seules tâches qui vous seront suggérées, sont celles de la vie quotidienne à bord. Ceci, pour une meilleure convivialité et une meilleure marche du bateau, contribue aussi à votre …
Confort et bien-être
Les skippers ne se loue pas avec leur bateau avec pour seul objectif la lucrativité (comme c’est le cas d’un loueur de bateaux seuls) mais exerce une activité basée sur la passion de naviguer et le partage.
Il est donc évident qu’il va soigner l’entretien de son voilier et son service pour vous apporter un maximum de confort et de bien-être.
Il connait très bien sa région et vous fera découvrir ses petits coins et mouillages préférés que seuls les locaux connaissent et il partagera ses connaissances sur sa région.
Pour votre bien-être, vous bénéficierez en plus, chez TOPSAIL d’un avitaillement de qualité constitué autant que possible, de produits frais, locaux et … biologiques !
Prix
Louer un voilier avec skipper vous donne l’impression au premier abord (ou selon les aprioris) que le tarif sera plus élevé.
Cependant il convient de considérer le cout total de votre croisière.
Prenons un exemple :
Un voilier de 45 à 50 pieds (14 à 15m) disposant de 8 couchages en cabines se loue en Bretagne sud, en haute saison (juillet-aout), 3400 à 3700€. Sur ce prix, s’ajouteront toutes les options que vous serez susceptibles de souscrire pour une plus grande « tranquillité » de vos vacances : assurance des passagers (300€), annexe motorisée (100€), spi (50€), nettoyage (50€), lingerie de literie (50€).
Ajoutez à cela les services d’un skipper qui vous sera recommandé ou imposé. A 200€ par jour, vous le rémunèrerez 1400€ la semaine.
Ajoutez pour 50 à 100 € de carburants moteur inbord et moteur d’annexe, de gaz et de piles, vous dépenserez en réel pour votre semaine de location, entre 5400 et 5800 € pour un 45 à 50 pieds.
De plus, vous aurez une totale responsabilité en cas de problème !
En comparaison, avec TOPSAIL dont le voilier course croisière de 52 pieds basé à Lorient, vous disposerez de toutes les options (citées ci-dessus) incluses dans la prestation, pour un tarif en haute saison de 4584€, soit plus de 1000€ de moins avec la sécurité, la sérénité, la tranquillité, la liberté et le bien-être en plus !
Le cas particulier du N.U.C.
Le statut des Navire à Utilisation Commerciale, apporte des garanties supplémentaires non négligeables.
Ils sont dotés d’une pharmacie importante pouvant parer à tout problème médical d’urgence, suivant les prescriptions d’un médecin régulateur contacté au moyen du matériel de télécommunication.
Ils sont annuellement contrôlés en termes de sécurité, d’hygiène sanitaire, d’équipement de télécommunication, de lutte contre l’incendie, de structure et flottabilité, par les Affaires Maritimes.
C’est dire si la sécurité de ces bateaux est optimum !
Là on passe dans un tout autre univers, celui du yachting.
Vous aurez à votre disposition non seulement un skipper, mais aussi une hôtesse ainsi que, éventuellement, des matelots.
Les voiliers concernés sont de véritables yachts, à l’état neuf préservé, de 70 pieds (21m) et plus et sont loués à des conditions bien différentes. Comptez 15000€ au minimum, pour une semaine.
Conclusion :
Que vous soyez navigateur chevronné ou totalement novice, que vous vouliez apprendre la navigation en croiseur ou farnienter durant vos vacances, que vous souhaitiez vous balader en mer ou « bouffer du mile » sportivement, la plus intéressante de ces façons de naviguer, explorer, vivre la mer, est sans conteste, de louer un voilier avec skipper – armateur.
Particulièrement l’Intrepid de TOPSAIL qui vous propose le mieux au tarif le plus serré.
Dernier avantage et non des moindres : si vous êtes seul, à 2 ou 3, vous pouvez rejoindre un petit groupe déjà constitué en bordée !
Alors, n’hésitez plus : vivez dès maintenant votre croisière !
Vous vous demandez comment éviter le mal de mer ? Vous pensez avoir tout essayé et rien n’y a fait ?
Vous vous privez de sorties en mer parce que vous avez été sujet au mal des transports (cinétose ou naupathie) et vous craignez souffrir du mal de mer ?
Prenez le temps de lire cet article, qui se veut d’être assez exhaustif sur toutes les techniques, astuces et thérapeutiques pour éviter le mal de mer.
De quoi s’agit-il ?
Le corps dispose de 3 capteurs qui renseignent notre cerveau sur l’équilibre :
Les yeux qui transmettent les mouvements observés visuellement et nous situent dans l’espace ;
Le vestibule de l’oreille interne qui renseigne sur les vitesses et les accélérations des mouvements de notre tête ;
Et les capteurs de proprioception situés dans les voutes plantaires qui nous informent des mouvements relatifs des appuis au sol, en l’occurrence le bateau.
C’est le décalage ou plus précisément, la discordance entre ces 3 perceptions qui provoque le mal de mer.
En clair, l’oreille interne « ressent » plus les mouvements du bateau que les yeux et les pieds.
Le cerveau se trouve confronté à un conflit de sensations élémentaires et provoque les symptômes du mal de mer.
La bonne nouvelle, c’est que le cerveau finit par s’adapter et à calmer les symptômes : c’est l’amarinage ; au bout de 1 à 2 jours, généralement.
Seconde bonne nouvelle : 95% des gens sujets au mal de mer arrivent à s’amariner après 1 à 3 jours de navigation !
C’est donc un mal quasi … normal !
30% des gens, environ, sont sujets au mal de mer. C’est aussi un problème imprévisible : vous l’aurez peut-être une fois et pas une autre, certains l’auront par mer d’huile et temps chaud et d’autres uniquement par gros temps, ça pourra toucher des professionnels de la mer ou des grands marins et certains plaisanciers occasionnels ne l’auront peut-être jamais.
Tous différents.
Les symptômes du début de la naupathie varient aussi selon les individus. Ils peuvent se cumuler (ou non) jusqu’à la nausée et les vomissements.
Ce pourra être des maux de tête ou de ventre, des sensations de fatigue ou de froid, des tensions musculaires ou des vertiges, tout cela à des grades différents selon les personnes.
A savoir que, rassurez-vous, les cas extrêmes sont très rares !
En voilier, les sensations seront différentes selon l’allure parce que les mouvements du bateau seront différents. Aux allures portantes (vent arrière ou grand largue) ce sera du roulis : le bateau roulera d’un côté sur l’autre ; aux allures de près (en remontant au vent) le voiler sera soumis aux vagues de houle et aura un mouvement de tangage (d’avant en arrière). Certaines personnes seront plus sensibles à un mouvement qu’à un autre.
D’autres personnes, comme les enfants de 3 à 15 ans ainsi que les personnes âgées seront plus sensibles.
Selon une étude récente, il a été constaté :
que les personnes naturellement plus stables, que celles qui écartaient un peu les pieds, étaient moins sujettes au mal de mer ;
qu’une personne malade en compagnie d’une autre qui ne l’est pas est aidée par celle-ci à l’être moins.
Les enfants de moins de 3 ans seront rarement atteints, du fait que leur système d’équilibre n’est pas totalement construit.
Mais, assurément, si vous êtes reposé, en bonne forme physique et vous avez bien mangé de bonne humeur, vous serez moins sujet au mal de mer.
Ce mal de mer est donc pernicieux et imprévisible.
Prévenir le mal de mer pour s’en préserver.
On dispose actuellement de diverses connaissances et techniques pour, au moins, diminuer les risques de mal de mer.
En premier lieu, tout marin connait la vieille loi des 5 F à éviter : Froid, Faim, Fatigue, Frousse et Foif (=soif avec un F pour le nom de la règle).
Le Froid : habillez-vous chaudement. L’air marin rafraichit plus que le vent « terrestre ». Voyez sur notre site comment se prémunir contre le froid.
La Faim : Se préserver de la sensation de faim. L’estomac vide peut causer le déclenchement du mal de mer. Prenez un bon petit déjeuner avant d’embarquer avec 2 fruits. Préférentiellement des fruits un peu acides comme la pomme, ou l’orange ; la banane aussi puisqu’elle évite les aigreurs, est énergétique et a aussi l’avantage d’avoir le même goût à l’entrée qu’à la sortie !
Il ne faudra pas non plus trop manger ! Cela pourrait favoriser les vomissements en cas de mal de mer.
N’hésitez pas à prendre ensuite dans la journée, des barres de céréale et des fruits secs. Non ! ça ne fait pas grossir ! En mer vous dépenserez vos calories absorbées, même si vous êtes tout à fait inactifs !
Evitez tout ce qui est gras, épicé ou difficile à digérer (œuf, fromage, viande rouge…)
La Fatigue : moins vous serez fatigué, moins vous serez sujet au mal de mer. Autant que possible, arrivez frais et reposés en embarquant.
La Frousse : Il ne s’agit pas réellement de peur-panique, rassurez-vous. Mais du stress, des angoisses, des inquiétudes, peuvent générer le mal de mer. Vous devez vous rassurer en parlant au skipper, en lui posant les questions qui vous inquiètent. Il vous aidera à positiver votre situation. Ne vous bloquez pas dans un cheminement de pensées négatives sur des risques qui n’existent probablement pas : un skipper professionnel est avec vous pour vous faire apprécier une navigation en sécurité. Je le concède, ce n’est pas forcément le cas avec un skipper « improvisé » ou de co-navigation…
La « Foif » : Le vent marin, même s’il est parfois humide, déshydrate. Si vous ne ressentez pas la soif, vous devez vous forcer à boire. Par petite quantités et souvent. Buvez de l’eau ou du thé vert mais surtout pas d’alcool ni même du café ou chocolat chauds, ni de lait.
Il y en a un sixième dans la règle des 5 F : Faut avoir libéré ses intestins.
Ces 6 altérations peuvent être des facteurs déclenchant du mal de mer.
Ce qu’il faut aussi éviter :
Il faudra éviter de se subir des odeurs inhabituelles. L’intérieur d’un bateau n’est pas toujours bien aéré et, même s’il est parfaitement entretenu, il peut y subsister des odeurs particulières parfois légèrement teintées de relents de cuisine, de gasoil, d’huile chaudes, de produits ménagers, auxquelles on doit s’adapter quand on n’est pas habitué à cet environnement. Et cela même si l’on en a pas forcément conscience !
On évitera de rester à l’intérieur, pour, en premier lieu, la raison évoquée ci-dessus.
Du fait aussi qu’on aura une portée de regard réduite et qu’on augmentera le décalage de perception entre les yeux et l’oreille interne.
Les fumeurs devront autant que possible s’abstenir de fumer.
Evitez de lire ou toute activité qui vous maintien le regard à faible distance ou l’observation aux jumelles.
Si des personnes à côté de vous sont malades, ne les regardez pas. Cela pourrait déclencher le même symptôme chez vous.
Ce qu’il faut faire :
Pour éviter le mal de mer, votre positionnement sur le bateau sera nécessairement à l’endroit où vous ressentirez le moins ses mouvements mais aussi où vous serez le mieux en sécurité. La place qui réunit ces 2 conditions est le cockpit qui se trouve à l’arrière (sur la plupart des voiliers).
Vous serez à l’extérieur et pourrez respirer à fond le bon air marin, ce qui contribuera à éviter le mal de mer.
Vous pourrez aussi regarder au loin, un point fixe sur l’horizon, ou admirer la côte, si elle est visible.
Essayez de rester actif, participez aux manœuvres, aux réglages de voiles, discutez avec l’équipage ou encore, ce qui est le plus bénéfique, prenez la barre. Si vous n’avez jamais barré un voilier, le skipper vous donnera toutes les indications pour apprendre. Ne vous en inquiétez pas, aucun risque n’est à craindre !
Des techniques à pratiquer avant votre croisière.
Ces techniques présentent une bonne efficacité : la sophrologie, le biofeedback, la relaxation, la méditation, ou la visualisation. Elles permettent au cerveau de remédier au problème avant qu’il ne survienne réellement.
Des remèdes préventifs à court terme (juste avant le départ en mer ou la survenue du malaise) :
Remèdes naturels :
L’acupressing consiste à presser un point d’acuponcture, le Nei-Kuan, situé à 3 doigts au-dessus du pli du poignet. Pour presser ce point au deux bras en même temps et durablement, il existe des bracelets peu couteux environ 15€), élastiques et doté d’un bouton qui exerce la pression sur le point Nei-Kuan.
Cet accessoire semble ne pas être suffisamment efficace pour tout le monde.
Les lunettes Boarding Ring (sorties en 2011) paraissent bien fonctionner sur une grande majorité des utilisateurs.
Il s’agit de lunette dont le verre est entouré à moitié d’un liquide bleu qui suit les mouvements du bateau. La perception visuelle est ainsi trompée et le cerveau réduit la discordance qu’il y avait avec les autres capteurs d’équilibre.
Un cocktail d’huiles essentielles de menthe poivrée, de lavande, de gingembre, de citron, de mandarine… qui ont des vertus anti-nauséeuses et anti vomitives, pourra être essayé par les adeptes de la phytothérapie. Choisissez des huiles à appliquer sur la peau plutôt qu’à inhaler par diffuseur. C’est plus pratique en voilier et on est moins soumis aux odeurs.
Boire un jus de citron sucré, peut parfois suffire.
Médicaments.
Non disponibles pour les enfants de moins de 10 ans et les femmes enceintes.
Le Nausicalm ou le Mercalm sont des anti-nauséeux (antiémétiques) généralement efficaces. Le Mercalm sera moins soporifique car il contient de la caféine. Il est, de plus, sécable. A prendre ½ heure avant le départ et pas plus que toutes les 6 heures.
Il pourra vous en être donné sur demande au skipper d’INTREPID qui en dispose à bord !
Le patch de scopolamine doit être prescrit par un médecin, car il comporte des risques d’effets secondaires important.
De même que le Vogalène.
La cocculine semble très peu efficace contre le mal de mer, sauf peut-être avec les personnes sur lesquelles l’effet placébo de l’homéopathie suffit à remédier au problème.
Ça peut être aussi une alternative pour les enfants de moins de 10 ans et les femmes enceintes.
Par ailleurs, sucer une pastille de menthe suffit à certains.
Et si malgré tout…
Et si malgré tout cela vous avez le mal de mer, ne persistez pas à rester dehors à vous tenter de vous sentir mieux ou à vomir !
Sachez que dès le début d’apparition d’un des symptômes (évoqué plus haut), il y a de fortes chances que le mal s’aggrave, à moins que vous ne preniez la barre, comme conseillé plus haut. C’est la seule activité « curative » une fois les prémices du malaise apparus.
Sinon, plutôt que de lutter jusqu’à vomir, de reprendre un Mercalm qui sera à ce moment inefficace, vous devez aller vous allonger à l’intérieur du bateau, au chaud.
Mettez-vous au plus près possible du centre de carène, c’est-à-dire le point pivot des mouvements du bateau, là où vous le sentirez le moins bouger. Sur INTREPID, comme sur bon nombre de voilier, il s’agit d’une des banquettes du carré. Vous vous allonger et fermez les yeux. Vos 3 capteurs d’équilibre seront ainsi silencieux pour votre cerveau qui fera rapidement stopper votre malaise !
Il est même probable que vous vous endormiez ! Ainsi vous serez en pleine forme en arrivant au port d’escale, pour l’apéro! … et la navigation du lendemain…
En conclusion :
Mangez, buvez (de l’eau !), habillez-vous chaudement, respirez, occupez-vous l’esprit, regardez loin, activez-vous et préparez-vous psychologiquement et très positivement avant !
Quand mon épouse m’a proposé de partir faire une croisière en famille, j’ai cru qu’elle plaisantait. Elle a ri, car elle me connaît. »Non ! pas une croisière en paquebot, mais en voilier ! » J’ai hésité, car je pense être sujet au mal de mer… Mon épouse m’a finalement convaincu, et nous voilà partis avec nos trois enfants de 4, 7 et 15 ans.
Je ne regrette qu’une chose : que ce soit terminé.
On a navigué sur un magnifique voilier, Intrepid, barré par un skipper très pro. Les enfants étaient ravis de voir des dauphins et des poissons « en vrai » ! Le bon air iodé du large, le soleil : tout ce qui est bon pour le corps et l’esprit ! Envolés le stress et les soucis de la vie courante.
Nous n’avons en rien »lutté contre les éléments », mais tutoyé la nature. Que les ciels changeants envahissant tout l’horizon, si bas et rectiligne, sont magnifiques ! Ca fait tant de bien à l’esprit ! C’est si apaisant ces mouvements du bateau sur les vagues, le vent iodé sur nos visages et … un peu d’humidité marine, mais qu’importe : le climat est bon. Nous en apprécions ces moments humides, un rien vivifiants et qui conservent toute la beauté des paysages marins.
Le plaisir de filer vent arrière, de surfer sur les vagues… La légèreté de ce grand bateau costaud m’a épaté. Ma femme et moi nous sommes même essayé aux manœuvres durant cette croisière en famille et appris quelques rudiments de la navigation. Que c’est beau, une cathédrale de voiles sous le vent !
Mais ce bateau, bien qu’impressionnant par sa puissance, est aussi formidablement confortable avec ses cabines doubles, ses salles d’eau agréables et son grand carré avec cuisine américaine.
Les cotes vues de la mer sont superbes quel que soit le temps et la lumière et offrent une dimension quasiment magique.
Et on n’a pas fait que tirer des bords : on a aussi mouillé l’ancre dans des petites criques, loin des plages, pour le plus grand bonheur des enfants… Et le nôtre !
Quant à mon mal de mer, hé bien… en suivant les conseils de Jean, le skipper, je l’ai si peu ressenti tant il a si vite laissé la place au plaisir.
Cette croisière en famille a donc été une superbe expérience de bien-être, à recommander à tous ceux qui veulent se défatiguer de la vie trépidante. C’est décidé, on y retourne l’année prochaine ! Nous sommes devenus Intrepid adict !
Un seul conseil : choisissez bien votre équipage. Nous, avec Jean, on est vraiment bien tombés. Il ne plaisante pas avec la sécurité, ce qui permet de profiter pleinement de cette croisière exaltante et apaisante, en toute sérénité !
Intrepid voilier course-croisière confortable, un Sun Fast 52 qui est le premier bateau de série dans ces dimensions (52 pieds, 15,85 m) destiné à la croisière rapide et la course (dans sa version Régate) et voilier amiral de la flotte Jeanneau !
Le confort de la vie à bord a pourtant été la priorité, avec sa grande cuisine « à l’américaine » dotée de 2 bacs éviers, 2 réfrigérateurs totalisant 120 litres de volume et son grand équipet à agrumes.
Les propriétaires successifs ont effectué quelques réaménagements qui donnent un caractère d’exception à ce rapide monocoque.
Les cabines dans l’esprit de la version « Propriétaire » : les bannettes sur tubulures alu ont laissé place à de confortables couchettes de mousse épaisse et ferme, recouverte de skaï blanc ou d’Alcantara. Deux cabines doubles à l’avant ont été aménagées, dont l’une, spacieuse, dispose de nombreux équipets.
2 grandes salles d’eau avec eau chaude et mitigeur, douche, toilettes, équipets de rangement, portant à cirés, cuves à eaux noires, desservent les cabines avant et arrière.
Le confort n’a pas été oublié non plus à l’extérieur. Le cockpit en teck apporte une franche touche d’esthétique et de douceur chaleureuse à l’immaculé du pont.
Une douche d’eau douce à la poupe vous rincera une fois remonté de votre bain, sur la plateforme arrière.
Les sensations prodiguées par la puissance de ce bateau seront d’autant plus appréciées qu’elles seront ressenties dans un confort optimum.
En cela « Intrepid » est exceptionnel. Une signature de l’époque, un vrai gage du présent au quotidien.